Daniel
« Voilà un honnête homme »
Quand on s’est connu , je ne savais pas que tu étais un socialiste pur et dur dans l’âme et le cœur.
Tu m’as proposé tes services alors que je ne faisais qu’arriver dans une ville en pleine expansion.
Tu as été de tous les rendez-vous et tu m’as apporté tes lumières sans aucunes arrière pensées
Tu as été un des seuls qui ont cru en moi dès le début et tu m’as donné beaucoup de tes aspirations.
L’Espace du Maître de Poste c’est toi qui était présent pour son inauguration.
La Mapad c’est encore toi qui t’es dévoué pour y jouer.
Le Vieux Coudekerque sans toi il n’y aurait pas eu d’animations ni de respect envers un quartier à l’origine de la création d’une ville.
Cette ville te doit beaucoup même si dans le passé récent on a tendance à l’oublier.
Mais toi jamais , tu m’entends, car tu m’entends , je ne t’oublierai et je ferai en sorte qu’on ne t’oublie pas.
Ton crédo a toujours été la famille et le Parti Socialiste, oui ,mais le parti unifié tenant compte des frères qui sont dans la misère.
Là tu as toujours été prêt à donner.
Non seulement pour Ludovic mais aussi pour Chantal et pour tous ceux qui souffrent.
A côté de toi il y a Chantal qui t’a suivi dans tes pas.
Chantal qui pour tout l’amour qu’elle te portait et te porte t’a aidé dans le double combat qui a marqué ta vie.
Sans état d’âme elle t’a suivi en portant haut et fort les valeurs de l’humanisme, celles que toutes celles et tous ceux ont voulu un jour porter : l’amour et la paix universelle, elle, elle l’a fait.
Daniel tu n’as jamais aimé les lâches , les traîtres , les rancuniers et les envieux, tu n’aimais pas les sempiternelles soumissions encore moins les génuflexions devant un quelconque pouvoir s’il desservait l’être humain.
Tu avais ta façon honnête de t’exprimer, ton langage et surtout tes idées que tu n’hésitais pas à faire partager.
Tu me manques déjà et j’ai aujourd’hui plus qu’une pensée , une admiration pour ce que tu as fait et les chemins que tu as ouverts pour que règnent un jour la fraternité et l’égalité.
Je n’ai pu te le dire parce que je connaissais ton humilité mais aujourd’hui avec tous les camarades nous nous devons de suivre le chemin que tu as tracé dans l’adversité non seulement liée à la vie mais aussi à la maladie et à la politique.
Ton cheminement est exemplaire et nous nous te devons le respect.
Pense à nous.
Denis DESCAMPS
4 commentaires:
Daniel, tu nous manqueras, j'ai énormément apprécié de militer avec toi.
Chantal, Ludovic, nous sommes de tout coeur avec vous dans ce moment difficile.
Bien amicalement
Daniel, nous garderons de toi le souvenir d'une personne impliquée personnellement,
engagée émotionnellement; pour sa famille, dans ses passions, dans ses idées, dans ses relations, dans ses combats. Celles et ceux qui l'ont côtoyé se souviendront de sa chaleur
humaine et de la jovialité des moments échangés; celles et ceux qui ont partagé son quotidien n'oublieront pas son affection généreuse et sa
tendresse attentionnée; ni ses amitiés entières, ni son caractère, à la
fois doux et déterminé.
En ce mois septembre 2009, Difficile de commenter une fin si abrupte, imprévisible, sans se perdre.
Parce que certain, empreint du mépris.
Daniel a toujours implique de sa personne dans les grandes et petites
choses qu'il a initiées, les projets qu'il a nourris et imprégnés de sa
personnalité, les choix de vie qu'il a défendus et menés donnent sens à
sa personne, à son histoire, à ce dans quoi il s'est engagé tout
entier... il s'agit ici de les rappeler.
Voilà là l'objet de cet hommage. Évoquer Daniel dans ce qu'il a été,
dans ce pourquoi il a vibré, sans exagération ni complaisance, pour lui
qui, n'aurait pas souhaité focaliser cette Attention,
et, hostile aux éloges trop accentuées, ne se reconnaîtrait pas dans un
tableau excessivement marqué.
Tu nous manqueras……
Cher Daniel,
Que puis-je ajouter de mieux que ce que viennent d'exprimer nos camarades à ton propos,et d'une manière aussi sincère,si ce n'est que je ne réalise pas que tu nous ais quitté et que nous n'aurons plus ces conversations au cours desquelles nos points de vue se rejoignaient toujours.Je t'ai toujours perçu comme quelqu'un d'entier,empreint des valeurs essentielles de la vie telles que le dévouement,la sincérité et la convialité.
Comme militants socialistes à la section de Coudekerque Branche nous avions la même déception et la même colère face à une certaine inertie.Je te promets de poursuivre le même combat afin de voir rapidement nos ambitions satisfaites.
Ma pensée va bien sûr vers Chantal et Ludovic.
Tu seras toujours présent.
Régis
Daniel,
Tu étais plus qu'un camarade, mais un ami à qui nous pouvions parler sans craintes. Tu savais écouter et tu n'aimais pas l'injustice, la méchanceté d'autrui. Tu ne supportais pas qu'on puisse faire tant de mal.
Aujourd'hui tu nous as quitté mais tu seras toujours dans mon coeur.
Malgré qu'on ne se voyait plus trés souvent.
Je pense énormément à Chantal et Ludovic tes 2 amours.
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